Elizabeth Gilbert, The signature of all things: même si je n’avais pas trop aimé Eat, pray, love, le sujet de ce roman me tentait beaucoup: les premiers voyages dans le Pacifique et surtout la botanique. Le livre raconte l’histoire de la famille Whittaker, d’abord celle d’Henry, un garçon anglais issu d’une famille très pauvre, et qui participe à un des voyages de Cook dans le Pacifique. Par la suite, il fait fortune avec le commerce de la quinine et s’installe avec sa femme hollandaise à Philadelphie. Là naît sa fille Alma et c’est sa vie que raconte ensuite Elizabeth Gilbert. Très intelligente mais au physique ingrat, elle s’intéresse à la botanique, faute d’attirer les hommes. Elle découvre la sexualité dans des livres et trouve un certain confort dans ses attouchements. Au fil des pages, j’ai trouvé l’héroïne de plus en plus déprimante, je me suis demandée s’il lui arriverait des événements heureux dans vie. J’ai eu beaucoup de mal à continuer mais je voulais connaître le fin mot de l’histoire. Certaines critiques sur le net avaient trop dévoilé et cela m’a un peu dérangée dans ma lecture. Au final, je reste assez mitigée: j’ai adoré le côté « botanique » mais j’aurais sans doute préféré un roman qui ne traîne pas autant sur certains épisodes.
Oh, tout commençait si bien… Je crains que les défauts rédhibitoires pour toi ne le soient aussi pour moi.
En même temps, je n’ai lu que des avis positifs et je sais que je suis une grande difficile 😉
J’ai trouvé une myriade de commentaires négatifs (qui abondent dans ton sens) sur Goodreads 🙂 Par contre, tu es l’une des seules à avoir aimé la partie botanique. Pour ma part, c’était hyper intéressant aussi.
Sinon, j’ai adoré sauf vers la fin où l’auteur semble s’être perdue. Je vais essayer d’écrire dessus, tiens !
Oui, j’aimerais lire ton avis ! Et la botanique… on ne se refait pas hein ?