Short diary of the week (537)

Lundi: pas bien dormi, de l’encodage, faire le prêt du midi pour aider les collègues et discuter avec ceux qui sont présents, commencer ce long descriptif et mode d’emploi des points de notre système de gestion de médias (il y a beaucoup de points obsolètes), bien avancer comme toujours au début d’un projet, aller à la boutique de mon fournisseur d’accès tv et internet pour obtenir une nouvelle box tv – et me laisser convaincre de prendre le téléphone mobile chez eux aussi (j’avais toujours gardé un compte séparé), je n’aime pas installer ce genre de box et je pensais repousser ça à jeudi mais le changement d’abonnement a supprimé quasi toutes les chaînes, et donc pester sur l’installation du machin avec les câbles qui s’emmêlent derrière le meuble tv (dont un qui ne rentre nulle part – j’ai trouvé une solution alternative qui a l’air de fonctionner), et me rendre compte qu’il manque une chose importante à cette box: l’affichage de l’heure !, fatiguée de tout ça je ne fais plus rien de ma soirée, me sentir très nerveuse – je suis sûre que je ne vais pas m’endormir, céder vers minuit et prendre de l’anxiolytique (ça faisait bien quatre mois que je n’en avais plus pris)

Mardi: une nuit bien trop courte donc, ah mon téléphone est enfin passé chez le nouvel opérateur, mais est-ce que mon compte a bien été résilié ?, m’atteler à ce mode d’emploi, en avoir marre après deux heures de travail intensif, une diversion: une mini formation sur la gestion du nouveau site, une autre diversion: trier des vinyles avec un collègue, rentrer chez moi épuisée et incapable de faire quoi que ce soit, le premier épisode de Sambre

Mercredi: le réveil qui sonne au milieu d’un rêve, la suite du mode d’emploi, des problèmes qu’on n’ose pas signaler, écrire un court texte, c’est la fin de la semaine au bureau – il faut donc penser à laver ma tasse et arroser les plantes, commander une horloge pour mettre à côté de la tv, la suite de Sambre

Jeudi: vivement ce w-e que les températures remontent un peu, on voit les effets du coup de gel de mardi matin au jardin – la moitié des feuilles du figuier (notamment) ont gelé (mais bizarrement pas l’autre moitié) et j’espère que mes bébés poires nashi n’ont pas souffert, les mails qui disent que cette fois-ci les problèmes étaient bien une urgence et qu’on aurait dû les signaler de suite – ça devient compliqué tout ça, continuer un texte en cours, encore des problèmes, avec tout ça mon texte n’avance pas, mais cette fois-ci c’est réglé, ramener l’ancienne box tv à la boutique du fournisseur et signaler qu’elle a l’air bien plus cheap que le précédente, de la lecture, la suite de Sambre – il reste trop à regarder pour terminer ce soir mais ce n’est pas l’envie qui manque

Vendredi: mais quelle horrible nuit – sans raison, à moins que ce ne soit la progestérone dans le THS ?, sauf qu’apparemment la progestérone fait mieux dormir d’après dr google, des maux de tête qui commencent, continuer tant bien que mal les textes en cours, de la lecture, terminer Sambre (Jean-Xavier de Lestrade, France-Belgique, 2023)

Samedi: un sommeil agité et des insomnies – encore, traîner dans le canapé, c’est un peu dur ce matin – je n’ai envie de rien, de la couture, une mini sieste, me forcer à aller au jardin pour continuer le nettoyage de la plate-bande – ce qui me fait du bien et change mon humeur morose en quelque chose de plus positif, de la lecture – je suis bien lente dans mes lectures de non-fiction depuis le début de l’année, tenter trois films et les abandonner après quelques minutes: pas envie de voir un film un peu poussiéreux et bien trop long avec une héroïne détestable (Mr. Skeffington, Vincent Sherman, 1944), ni un film sur un cheval et des enfants (National Velvet, Clarence Brown, 1944), puis commencer Jane Eyre (Robert Stevenson, 1943 – j’avais mal noté l’année sur ma liste) mais me dire qu’une adaptation aussi ancienne n’est pas une bonne manière d’apprécier le roman (et je n’ai pas supporté la manière dont les mauvais traitements envers les enfants sont filmés) – bref une soirée ratée au point de vue cinéma mais qui aura sans doute éliminé la plupart des films pénibles de ma liste pour 1944, de la lecture

Dimanche: encore un réveil intempestif au milieu de la nuit mais au moins je suis plus ou moins reposée le matin, des brouillons de billets, de la couture, sortir les dernières plantes qui étaient à l’intérieur, du jardinage, enfin arriver à cette zone oubliée où se trouve un yuzu mort depuis l’hiver de l’année passée, continuer le désherbage donc – ça devrait être terminé la semaine prochaine, quelques gouttes de pluie me poussent à rentrer, de la lecture, The Woman in the Window (Fritz Lang, 1944)

sur suasaday, mon escapade dans le sud de l’île de Hong Kong

4 réponses sur « Short diary of the week (537) »

  1. flyingelectra dit :

    oui, j’attendais aussi le retour du chaud et du soleil ! soleil c’est fait, mais entendre mon chauffage s’allumer alors que l’an dernier on avait déjà plus de 20 degrés. Dur dur, pas mal de boulot ces temps-ci je vais apprécier nos jours fériés nombreux au mois de mai et mes vacances (semaine prochaine)

    1. Oh oui, les jours fériés feront du bien, et plus plus tard, la diminution de la fréquence des réunions, là j’accumule un peu.

      Bonnes vacances ! (je n’ai toujours rien prévu, j’étais tentée par Berlin en juin et puis j’ai vu que c’était la coupe d’Europe de foot en Allemagne…).

  2. Tu as bien du courage de te mettre à l’installation d’une box après une journée de travail ! Je serais capable de soudoyer un employé du magasin pour m’éviter cela. Et Sambre ? Tu as aimé ?

    1. Je n’ai pas eu le choix: soit je me limitais à une seule chaîne pendant trois jours, soit j’installais ça de suite (j’ai aussi pensé que ce serait facile, mais il y a toujours des mini soucis avec ce genre de trucs).

      J’ai adoré Sambre, ça complète bien le livre – je publierai une petite note dans mon prochain At the movies.

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