Short diary of the week (540)

Lundi: aller au boulot en sandales – une première cette année, les couloirs vides du lundi mais quand même trouver quelques collègues, de l’encodage, corriger des textes, acheter des chaussettes et du dashi en poudre, abandonner un film quelques minutes après l’avoir commencé, me tourner vers le premier épisode de la nouvelle saison de Dr. Who qui au départ m’ennuie un peu et puis m’a bien fait sourire

Mardi: le mardi c’est le jour où quasi tout le monde est au bureau, parler aux collègues, aller voter pour les élections sociales, commencer deux-trois choses, le drink de départ à la pension d’un collègue, bien fatiguée du bruit et d’être restée debout tout l’après-midi, aucune concentration pour un film, Garden Rescue

Mercredi: ce n’était pas la meilleure nuit du monde, une série de choses à faire et le plaisir de les barrer sur ma liste, le second épisode de Dr. Who qui est pas mal aussi

Jeudi: la pluie, commencer à regarder un film pour le boulot, des mails avec plein de questions par rapport au thème du film en question, une mini réunion improvisée pour discuter de tout ça, mais du coup le film n’a pas avancé alors que je comptais regarder un second dans la foulée, Pollock (Ed Harris, 2000), une sieste qui ne fait qu’empirer mon état de fatigue et contribue à une déprime momentanée, de la lecture, regarder finalement le second film en soirée: Basquiat (Julian Schnabel, 1996)

Vendredi: la réunion en visio où je suis un peu perdue au départ parce que j’ai manqué plein d’épisodes parce qu’on ne m’a pas informée – toute cette affaire est un gros bordel mais j’ai l’impression que ça va aller mieux maintenant, de l’écriture, douter par rapport à un des films vus hier et en regarder un autre qui est lié: Downtown ’81 (Edo Bertoglio, 2000), de la lecture, All the Beauty and the Bloodshed (Laura Poitras, 2022) – un film qui est quelque part lié aux précédents mais c’est le hasard le plus complet

Samedi: il fait tout gris, chasser des limaces qui mangent toutes mes plantes – c’est une vraie plaie cette année – encore plus que les précédentes, le début d’un mal de tête, de la couture, oh non c’est une vraie crise bien forte qui m’assomme complètement, des siestes et de la lecture, terminer le long roman en cours, le début d’un film

Dimanche: mon cerveau n’a pas voulu s’arrêter cette nuit, toujours encore un peu mal à la tête, écrire quelques brouillons de billets, au moment où je commençais à m’inquiéter pour le voyage de cet été je reçois un mail qui me dit que le nombre de participants requis est atteint, ce qui me met en joie, de la couture, préparer les bacs où les tomates seront plantées, de la lecture, de la cuisine, toujours ces maux de tête, la fin du film: La passion de Dodin Bouffant (Tran Anh Hung, France, 2023)

sur suasaday, une première journée de visites à Bangkok (et de délicieux cocktails)