Short diary of the week (316)

Lundi: une nuit agitée (je me répète, encore et encore), bien avancer sur mon texte, ces conversations qui font du bien au détour d’un couloir, les maux de tête se pointent, et les nausées en plus (qui pourraient bien être causées par le paracétamol que j’ai pris), aller chercher mon JR Pass à pied – ce qui fait du bien même si c’est le long d’un boulevard fort animé, du shopping: l’idée était de trouver une gourde une valise et un gilet bleu – je suis rentrée avec un pyjama et une paire de bas, préparer une quiche, marcher en chaussettes sur ce que je pensais être une tomate cerise mais c’était une limace – beurk !, deux épisodes de Buffy

Mardi: une réunion tellement plus constructive que celles d’avant, une demande de dernière minute à propos d’un film chinois, le retour des maux de tête, ranger la cuisine, Why women kill, terminer mon roman et m’endormir tôt, pour me réveiller peu de temps après

Mercredi: et continuer par une nuit entrecoupée de réveils, le retour du technicien pour mes taques au gaz avec de nouvelles pièces, continuer un texte, en lire un autre, cette fatigue – évidemment, et des maux de ventre, qui empirent au point où j’ai recours à des médicaments, Angel, Buffy, de la méditation et du yoga

Jeudi: une meilleure nuit mais les maux de ventre n’ont pas complètement disparu, où une mini-formation (souvent demandée, jamais reçue) en traitement d’images m’aurait été bien utile, aller faire quelques photos en préparation de mon futur atelier photo, Why women kill, commencer un nouveau livre et être happée

Vendredi: un voyage virtuel dans les Caraïbes, ranger une série de choses, continuer d’autres choses, revoir ma voisine qui est partie habiter en Suisse, Why women kill, continuer le roman passionnant

Samedi: ce très joli lever de soleil, écrire des brouillons d’articles sur mon blog, aller chez mon papa puis faire les courses, préparer la terrasse pour l’hiver et rentrer les plantes les plus fragiles, de la lecture, Ride lonesome (Butt Boetticher, 1959), cette fatigue qui me tombe dessus

Dimanche: réveillée vraiment tôt avec l’heure d’hiver, ce qui me laisse amplement le temps de traînasser, terminer la robe en cours, terminer mon livre, jouer un moment mais me faire massacrer – il va falloir trouver une autre tactique, cuisiner, Why women kill, du yoga pour me relaxer

Short diary of the week (288)

Lundi: une fatigue comme si je n’avais pas dormi alors que j’ai bien dormi, fâchée (je vais encore devoir attendre au moins 15 jours pour en savoir plus sur mon futur au boulot), enfin réussir à exprimer tout ça – ce qui aide un peu, et avec tout ça il faut continuer à travailler, une séance de yoga pour gérer la colère (mais c’était un peu trop lent pour moi – par contre elle doit être idéale quand on est au cœur d’une crise), cuisiner un gratin aux artichauts, les derniers épisodes de Crazy ex-girlfriend, triste que la série soit terminée

Mardi: réveillée fort tôt – avant le réveil, mouillée par la pluie, le boulot, des disques, d’autres disques, me pencher sur la Bretagne et ses différentes régions, mouillée par la pluie, ne pas savoir quoi cuisiner, trouver une idée sur Foodgawker, je commence à mieux maîtriser mon Panda rice cooker, The good Fight, Fleabag

Mercredi: de la correction, des projets pour le futur au boulot – ça fait du bien même si je ne sais pas si je pourrai les réaliser, des cocktails Chez ta Mère, un repas grec entre amies

Jeudi: une nuit un peu agitée, terminer la Pologne, une longue heure de table au resto avec un ami et ancien collègue, voilà le projet pour la cuisine !, déjà changer une série de choses, reprendre rendez-vous la semaine prochaine pour pouvoir y réfléchir à l’aise, Fleabag, de la lecture

Vendredi: dieu qu’il fait froid, une réunion impromptue sur le futur de mon boulot, discuter de ma cuisine avec des amis, Fleabag – les trois derniers épisodes de la première saison, Gardener’s World

Samedi: du rangement, dieu qu’il fait froid !, aller chez mon papa, les courses, une seconde virée de courses dans ce grand supermarché où je ne vais qu’une fois par an – le seul endroit où je peux trouver un escabeau en plastique ou un molleton pour planche à repasser, de la couture, de la lecture, The horse soldiers (John Ford, 1959), rentrer in extremis quelques plantes par crainte du gel

Dimanche: il fait tout gris et il n’a pas l’air d’avoir gelé très fort, dieu qu’il fait froid !, du yoga, de la couture, de la lecture, cuisiner un curry indien, un grand moment de nostalgie: revoir les deux premiers épisodes de Buffy (et avoir envie de continuer)