Short diary of the week (189)

Lundi: ce brouillard…, de légers maux de tête et des courbatures, une journée qui se passe en avançant bien, une commande de jolis verres, aller à la chasse aux scarabées rouges mangeurs de fritillaires et de lys, Black Sails – fin de la série, lire pas mal de pages et me dire que je pourrai terminer le roman le lendemain

Mardi: arriver en temps record au boulot, un mail qui me met de très mauvaise humeur, tout ça parce que je n’arrive pas à exprimer ce que je pense vraiment à cette personne, ah mais ce ne sera donc pas pour aujourd’hui pour cause d’absence inopinée, enfin penser à prendre du magnésium, Broadchurch, Longmire

Mercredi: des insomnies, me retrouver responsable de Jakarta – du boulot en plus mais qui m’intéresse beaucoup, une discussion houleuse avec mon chef, avoir l’impression d’être dans une impasse (je ne veux plus lui parler – les mails suffisent à mon avis – lui veut absolument que je lui répète le contenu des mails à l’oral), le réconfort des collègues, voilà ma journée de travail fichue, une question à propos de destinations de citytrips qui amène plein d’idées – sauf que ça ne m’aide pas plus à décider !, de la comfort food bien grasse, The Americans, Masterchef

Jeudi: une discussion très intéressante avec le conseiller en prévention – discussion qui débouche sur quelques pistes, un éparpillement total dans mon travail – aucune concentration, et puis finalement la retrouver un peu, Chaussée d’Amour, Masterchef

Vendredi: une très bonne nuit – yeah !, la fin de l’Egypte approche (mais ce ne sera pas pour aujourd’hui alors que ça aurait pu sans les péripéties de mercredi), un colis avec de jolis verres, il manquait quelque chose à cette sauce, Chaussée d’Amour, Garderner’s World que je continue à regarder parce qu’il remplit la demi-heure avant que Masterchef ne commence

Samedi: hésiter sur les repas du w-e: barbecue ou pas ? sushis ou pas ?, découvrir avec résignation que la batterie de la voiture est vide, trouver de l’aide chez un voisin, de menus travaux de jardins en attendant que ça recharge, des courses pour moi et mon papa, profiter du soleil pour lire au jardin, inaugurer le nouveau mug ananas, Mademoiselle de Park Chan-wook – un film basé sur un roman de Sarah Waters que je trouve de moins en moins intéressante et originale – les images par contre sont superbes

Dimanche: les premiers rayons du soleil et la rosée du matin dans le jardin, 10km de vélo d’appartement, semis de quelques légumes et fabrication d’une protection anti-chats avec du grillage pour poules qui traînait à la cave, de la lecture, un premier barbecue pour cette année et une excellente manière de terminer cette journée si agréable, Berlin 1956 – deux épisodes (mais quelle horreur, ce doublage !)

Short diary of the week (160)

Lundi: retour au boulot sans grand entrain, surtout qu’il faut exécuter ces mille et une tâches peu intéressantes avant de pouvoir s’attaquer au reste, de la pluie bénéfique pour le jardin, ces talons ne sont pas si hauts finalement, une course infructueuse: le lundi c’est fermé, pas mécontente d’enlever ces sandales en fin de compte, à la recherche de patrons de pantalons faciles à coudre – Knipmode/Fashion Style est mon ami, Man Seeking Woman – saison 1 – premier épisode, c’est encore à voir si ça me plaira, UnReal, finir mon bouquin

Mardi: une fraîcheur toute automnale, le plaisir d’offrir, trouver de jolis verres dans un endroit inattendu, Mr. Robot – début de la saison 2, UnReal, Man Seeking Woman

Mercredi: ce livre est vraiment écrit petit et serré, manger dehors, gagner à un concours – ça ne m’arrive jamais !, des vertiges et début de maux de tête, rentrer épuisée alors que j’ai passé la journée assise, prendre un moment pour me remettre, UnReal – trois épisodes à la suite pour terminer la saison 2 – après l’ennui profond du milieu de saison la fin est assez enlevée quoique très nimportnawak

Jeudi: hésiter sur mes vêtements puis recevoir des compliments sur mon choix, un collègue part en pause carrière par dégoût de la boîte (et de mon chef), The Desperadoes (Charles Vidor, 1943) – des méchants, un méchant qui est bon en fait, une jolie jeune fille, des chevaux

Vendredi: discussions de couloir sur les mots de passe et sur les jeux pour s’occuper, une expérience étrange d’intelligence collective sur la culture, Halt and Catch Fire, Anthony Bourdain Parts Unknown à Naxos

Samedi: un nouveau Mac, bloquer sur le mot de passe du wifi – évidemment quand on me donne le mauvais – le retrouver en me fiant à de vagues souvenirs, il reste à importer les documents de l’ancien, un moment de flou, tondre la pelouse et tailler la haie, lire un moment au jardin, une soirée d’anniversaire et des cocktails bleus

Dimanche: un sommeil fort agité, avoir du mal à m’habituer à la légèreté du nouvel ordinateur, le retour de la zumba, un moment pour m’en remettre – il faisait très chaud, rejoindre des amis à Essence of Thailand et faire des emplettes pour mon repas du soir, découper du tissu, de la lecture de canapé (je préfère le jardin – c’est clair), They died with their boots on – un long long film très bavard sur la vie du Général Custer (Raoul Walsh, 1941)

A dash of… (II) – glasses

Pour les verres, le choix est assez large mais certains cocktails ont leur verre attitré. Il m’arrive souvent d’acheter de jolis exemplaires par deux. Et une partie importante de ma collection est constituée de verres reçus avec des bouteilles d’alcool. Chaque recette de cocktail indiquera en général dans quel type de verre il doit être servi. Un aperçu:

  • le verre piscine ou à brandy, sur pied et avec un large calice, à la mode actuellement pour les gin tonic
  • le verre à martini, un classique
  • le verre à margarita, sur pied et à deux coupelles arrondies, difficile à trouver à l’époque mais j’en ai vu récemment chez Casa
  • le grand verre à long drink qui peut servir à plein de choses
  • le mug tiki, en céramique
  • le tumbler ou collins, long et étroit
  •  le verre à cocktail, sur pied, pour les cocktails anciens: il y en a des très jolis chez les brocanteurs et antiquaires
  • le verre type « Hoegaarden », simple, grand et solide
  • le old-fashioned ou verre à whisky, large et peu élevé
  • et la flûte à champagne qui n’est pas en photo

UPDATE: une chose est sûre: il n’est pas nécessaire d’avoir tous ces types de verres pour déguster un bon cocktail !