Short diary of the week (363)

Lundi: comme je n’ai toujours pas les résultats du test covid je reste en télétravail, mais j’ai du mal à m’y mettre, du Chili, ah voilà: test négatif ! – 7 jours entre la demande initiale et le résultat – je comprends qu’on ne teste plus les personnes asymptomatiques pour le moment, terminer des textes, de la lecture, deux épisodes de Garden Rescue dont un avec un jardin gothique – ce qui est plutôt rare – et qui me fait rêver d’un jardin bien plus grand où je pourrais installer une folie

Mardi: commencer un autre texte, ça avance à son aise, terminer ce roman pavé lent à lire, Garden Rescue – ça pourrait bien être le dernier épisode pour un moment

Mercredi: du télétravail, un rendez-vous chez l’ophtalmologue, un passage au bureau pour traiter des commandes et prendre du travail, du télétravail, il fait si doux aujourd’hui mais aussi très venteux, en profiter pour faire des photos de la dernière robe cousue, le début du documentaire sur les Black Panthers (Arte) mais arrêter après 20 minutes parce que je sens que je m’endors, traîner encore peu puis aller dormir

Jeudi: deux jours en compagnie du chauffagiste qui remplace ma chaudière, des échanges de mail, terminer un texte, du tri de disques, un gros coup de pompe, du scan de dias, de la lecture, j’ai encore trouvé un épisode de Garden Rescue, mes yeux se ferment tout seuls

Vendredi: une très mauvaise nuit pleine d’angoisses liées aux travaux à faire dans la maison (pas de raison d’angoisser en vrai mais la nuit tout prend des proportions immenses), et donc la grand-messe du boulot à Namur est maintenue la semaine prochaine (ce qui me fera 3h30 de transports en commun pour 2h30 de discours), du tri, des corrections, le bruit de la foreuse, le glouglou des radiateurs qui se vident, et puis qui se remplissent à nouveau, il reste encore du travail mais la nouvelle chaudière fonctionne, sauf que je n’ai plus d’eau froide, il m’arrive toujours des trucs de ce genre après des travaux, et donc une vanne était fermée, après ces péripéties: cuisine !, un ceviche péruvien, la suite du documentaire sur les Black Panthers

Samedi: une grise journée en perspective – au point de vue météo en tous cas, une grand vide d’inspiration pour la couture – je ne sais plus trop quel modèle coudre, rajouter du sirop de sucre dans les macérations de fruits réalisées cet été, de la lecture, des ramens très fusion avec des tranches de magret de canard fumé, Inside Llewyn Davis (Joel & Ethan Coen, 2013) qui confirme pourquoi je trouve le folk des années 1960 ennuyeux

Dimanche: me réveiller très tôt à cause du bruit de la pluie, du repassage, toujours pas d’idée pour de la couture, de la lecture, préparer le repas du soir (du canard sauvage) et des midis de la semaine, la seconde partie du documentaire sur les Black Panthers

Short diary of the week (342)

Lundi: une bonne nuit, commencer un long article, deux problèmes informatiques résolus en une journée, la mail officiel qui annonce une certaine reprise mais qui n’est pas assez précis pour mon poste, aucune concentration pour de la lecture, y arriver finalement en me donnant un court créneau horaire (genre de 17h45 à 18h15 – j’ai tenu 15 minutes mais c’était le plus long moment sans interruption de l’après-midi), ranger la cuisine tout en rippant des disques pour le travail, Breaking Bad, Gardener’s World en différé

Mardi: une bonne nuit, écrire, le beau livreur de Post NL qui m’amène à ma perte: il me livre un puzzle, puzzle que je commence dès la journée de travail finie et que je n’arrive plus à lâcher (je n’ai même pas publié de billet à propos du Japon – ce sera pour la semaine prochaine), Breaking Bad

Mercredi: écrire et corriger, noter des citations, du puzzle, cuisiner une salade intéressante (aubergine, maïs, poivrons, tomates, aneth), Breaking Bad, discuter de rhums par messenger

Jeudi: encoder deux longs articles avec plein de photos, ce qui prend un long moment, et puis arrive le camion avec mon nouveau canapé et mes chaises de jardin, un colis de 56kg donc mais je m’en suis sortie pour le glisser jusqu’au salon et le déballer, The great British sewing bee tout en profitant du nouveau canapé, de la lecture

Vendredi: réveillé fort tôt, faire des commandes, un détour rapide pour faire les courses, passer au bureau pour chercher du travail d’encodage, et donc rencontrer quelques collègues, m’y remettre, tondre la pelouse, et puis l’après-midi est terminée, le repas du soir, une longue et agréable conversation avec Kleo

Samedi: réveillée tôt, glander dans le canapé (l’autre, celui qui donne malheureusement des signes de faiblesse), ne pas réussir à me décider: quel tissu coudre en premier – le rouge ou le bleu ?, le livreur qui passe évidemment quand je suis sous la douche (il a déposé le paquet chez les voisins), du rangement, laver les grandes vitres de la baie vitrée, de la lecture, et comme souvent le samedi soir m’endormir à peine le film lancé, me réveiller une heure plus tard et lire encore un bon moment

Dimanche: du ménage, découper une nouvelle robe (un sondage instagram m’a décidée pour le tissu à fleurs rouges), sortir le parasol, planter une bonne vingtaine de plants de tomates, terminer mon roman, quelques pièces du puzzle, cuisiner un plat de Madagascar très facile, encore un cocktail partagé, Rashomon (Akira Kurosawa, 1950), le sentiment d’avoir passé une bonne semaine sans drames et sans remous et qui me conforte que le télétravail c’est le bien

Short diary of the week (340)

Lundi: et donc cette douleur sous l’omoplate est plus accentuée aujourd’hui, reprendre le travail à la maison (a priori au moins jusqu’au 18 mai si j’ai bien compris le mail du directeur), couper les cannes de bambou restantes, lire un moment et profiter de ce dernier jour de soleil, Breaking Bad

Mardi: réécouter un vieux disque et me rendre compte qu’il ne me plaît plus autant qu’avant, commencer un texte, la pluie – enfin, ajouter de la terre à mes tomates à l’intérieur, terminer ce roman, Breaking Bad

Mercredi: ces douleurs sous l’omoplate – toujours, plein d’idées pour la suite (cette liberté de choisir soi-même des sujets), rempoter quelques fleurs, tenter un plat de Hong Kong qui s’avère facile à préparer et très bon, le documentaire Ramen Heads qui me fait saliver

Jeudi: mettre des choses en ligne, voir avec plaisir le facteur (la factrice ?) m’apporter un colis, une courte promenade pour tenter de détendre mon corps tout tendu, The great British sewing bee (en différé)

Vendredi: congé !, de la couture: continuer la robe en cours et coudre un masque, glander pas mal, un peu de lecture, un documentaire sur les femmes de réconfort indonésiennes lors de l’occupation japonaise: Troostmeisjes: omdat wij mooi waren, un bout de Gardener’s world

Samedi: les courses qui ne se passent pas trop bien: me faire agresser verbalement par un client qui m’a d’abord coincé dans une allée sans issue, le trop plein d’émotions catalysé par ce truc tout con, de la couture: me décider pour une jupe droite mais d’abord coudre une toile, m’attaquer à cet arbuste qui cache un palmier, j’abandonne: il est trop ancré dans le sol, mais en le taillant aux deux-tiers j’obtiens l’effet voulu, de la lecture, préparer des ramens au coquilles saint-jacques et mettre le bordel dans la cuisine, un début de film qui m’endort très vite

Dimanche: une bonne nuit, de la couture, abandonner: c’était une bonne idée de coudre une jupe droite mais l’adaptation à ma taille se révèle fort difficile et je préfère y revenir à tête reposée, lire tout l’après-midi et terminer un roman, du gigot – le souci c’est que toute la maison sent le graillon, A land imagined – un beau film de Singapour

Short diary of the week (339)

Lundi: une mauvaise nuit (sans vraie raison), m’attaquer à ce texte, être interrompue par le jardinier de ma voisine qui taille la haie mitoyenne, bien avancer quand même, tailler le reste de la haie et tondre la pelouse, un documentaire gratuit pour le moment – et très émouvant: Return to K.I.D. de Vanna Seang (retour vers le passé au Cambodge)

Mardi: une bien meilleure nuit, des corrections, attendre des corrections, déplacer les plantes sur la terrasse, le dernier épisode de la cinquième saison de Better call Saul

Mercredi: de nouveau une nuit entrecoupée d’un long réveil, mettre un long texte en ligne, écrire d’autres choses, rempoter des plantes, Breaking Bad

Jeudi: mettre en ligne le texte d’un collègue, diverses petites tâches, et puis en fin d’après-midi m’attaquer aux mauvaises herbes de la pente du garage, terminer un livre, The Great British Sewing Bee – en différé

Vendredi: réfléchir au travail de la semaine prochaine, avancer sur quelques projets plus anciens, me plonger dans les généalogies familiales, asperges scampis oeufs mollets, Breaking Bad

Samedi: une nuit agitée, les courses, une sieste, me rendre compte que j’ai pris pas mal de retard dans l’écriture de brouillons d’articles de blogs (et ne rien faire pour changer ça dans l’immédiat), enlever des mauvaises herbes sur le trottoir, réfléchir une fois de plus aux changements à l’arrière du jardin, m’installer pour lire mais il fait trop froid à l’ombre (et impossible de lire au soleil), des sashimi et maki maison, Gardener’s World (en différé), tomber sur Maison à vendre et regarder ça le reste de la soirée (parfois, il faut mettre son cerveau en vacances)

Dimanche: cette douleur sous l’omoplate viendrait-elle d’un faux mouvement ou c’est l’endroit où le stress se serait accumulé ?, du yoga pour le haut du dos, de la couture – c’est toujours gratifiant quand ça prend forme (surtout après avoir passé plusieurs semaines à coudre des toiles pour un autre patron), un bout de bambou en moins – et donc le mal sous l’omoplate vient de là, de la lecture, un rougail de saucisses qui a un délicieux goût fumé grâce à du pimenton offert par Gasparde, The roots remain – encore un documentaire intéressant sur le Cambodge

Short diary of the week (338)

Lundi: une très mauvaise nuit – sans vraie raison – mais je dois peut-être regarder du côté d’une meilleure hydratation le soir, j’ai l’impression que quand je bois plus d’eau le soir je dors mieux mais c’est un équilibre précis: si je bois trop tard je me réveille pour aller aux toilettes, congé donc !, les architectes de jardin peuvent continuer à travailler et donc j’ai eu un rendez-vous ce matin – à distance raisonnable – pour discuter d’un nouveau point d’eau à l’arrière du jardin, le projet est très enthousiasmant !, une grosse chute de tension, rempoter les herbes aromatiques, réfléchir au nouvel agencement des plantes à l’arrière du jardin, hésiter beaucoup: enlever les bambous et les remplacer par des érables ?, Breaking Bad

Mardi: encore une nuit très moyenne – c’est frustrant !, de retour au travail… à la maison, manger un délicieux goulash cuisiné par ma voisine, cinq des vingt variétés de tomates n’ont pas germé – mais j’ai assez de pousses pour remplir les pots vides (et j’ai pensé pour une fois à jeter les semences concernées), chercher de nouvelles chaises de jardin sur le net, cuisiner un plat pas mal mais il manque quelque chose pour que ce soit vraiment savoureux, Better Call Saul

Mercredi: une meilleure nuit, écouter ce « disque de réconfort » et réfléchir à un texte, un peu de lecture, et puis les nouvelles me troublent – j’ai peur de retourner travailler le 3 mai en prenant les transports en commun (il y a sans doute peu de chances en fait quand on y réfléchit un peu), du coup je ne fais pas grand chose de ma soirée, et je m’endors sur mon roman alors qu’il ne reste que 20 pages

Jeudi: écrire avec entrain, et puis cette horrible nouvelle: un de mes collègues est décédé d’une rupture d’anévrisme, je suis bouleversée tout comme les quelques collègues que je contacte, je regrette déjà son humour très cynique, me défouler sur les bambous pour tenter d’oublier, et puis terminer ce beau roman, et commencer un autre qui semble prometteur – j’aime l’écriture dès les premières pages, un apéro en visioconférence, deux épisodes de Breaking Bad – la fin de la troisième saison et le début de la quatrième

Vendredi: réveillée quelques minutes avant le réveil, commencer une tâche, être interrompue par une plus urgente, semer des courgettes et concombres, de la lecture, un nouvel apéro partagé sur instagram, mon papa me raconte au téléphone que son meilleur ami d’adolescence est décédé, Breaking Bad, Gardener’s World

Samedi: me réveiller pendant la nuit à cause de nausées, les courses, parler un moment avec le responsable des vins qui me raconte combien certains clients sont chiants, me réjouir de la pluie qui arrose enfin le jardin, me dire que je vais commencer un nouveau projet couture facile et rapide, et puis hésiter le reste de la matinée, divers facteurs entrent en compte – le changement de couleur du fil dans la surjeteuse n’étant pas des moindres, trouver finalement une idée – encore un sacré frankenpattern – avec un tissu foncé mais estival quand même, décider qu’une sieste me ferait du bien, dormir profondément pendant deux heures – et j’ai du mal à me réveiller après ça, du jardinage, de la lecture, The last reel – un film cambodgien diffusé gratuitement pour le moment

Dimanche: une bonne nuit, un temps tout gris, couper du tissu pour une nouvelle robe, enfin terminer le tri des photos de mon voyage au Japon, de la lecture, cuisiner un bon plat, Babylon Berlin

Short diary of the week (336)

Lundi: le scénario habituel: « mais je ne connais rien à ce sujet ! » – une demi-heure plus tard: « ah mais c’est super intéressant en fait » – ou comment se passe la rédaction de l’article du jour pour le boulot, et puis ressortir ce disque de Wild at heart et avoir envie de revoir le film, cette satisfaction d’avoir bien travaillé, semer des tomates – vingt variétés – l’idée est d’avoir un plant de chaque, de la lecture, reprendre avec plaisir Babylon Berlin (saison 3), Breaking Bad

Mardi: cette douleur au dos est la preuve que mes angoisses sont bien là, mais comment les faire partir ?, travailler sur plusieurs projets à la fois, préparer du falernum, lire au jardin – j’ai pris des couleurs !, Better Call Saul, Unorthodox, ou comment les anxiétés des autres jouent un mauvais rôle dans la mienne

Mercredi: pour une fois je ne me suis pas réveillée avant le réveil, on dirait qu’il a bien gelé cette nuit, le boulot, me défouler sur les bambous, lire un moment, et puis bondir en lisant quelque chose, et avoir beaucoup de mal à me calmer, discuter un moment en ligne

Jeudi: une nuit agitée – les histoires d’hier ont influencé mon sommeil – et quelque part ça me frustre, continuer à écrire cet article, regarder un documentaire lié à celui-ci, trier des photos, deux épisodes d’Unorthodox

Vendredi: du copier-coller, une réunion ratée (une des personnes n’arrivait pas à se connecter), un peu de jardinage, la fin d’Unorthodox – une belle mini-série, Gardener’s World (non, je ne me suis pas endormie !)

Samedi: les courses, de la couture, à l’attaque des bambous – aussi chez ma voisine – à distance raisonnable évidemment, planter dahlias et lys dans des pots, de la lecture (mais le soleil s’est caché et je suis donc rentrée), le début d’un film lamentablement interrompu par un endormissement impromptu

Dimanche: mais quel est-ce bruit ? j’avais oublié de fermer le robinet du jardin et le tuyau d’arrosage s’est déconnecté créant une mini-inondation dans le jardin, de la couture: cette troisième toile du haut est la bonne, par contre je me perds dans mes calculs pour le bas, préparer les bacs du potager et autres petites tâches au jardin, lire – à l’ombre cette fois-ci, un premier barbecue de l’année, continuer et terminer le film entamé hier: Miss Oyu de Kenji Mizoguchi (1951)

Short diary of the week (334)

Lundi: réveillée bien trop tôt après une mauvaise nuit, prendre la voiture pour aller au travail, attendre de voir mon chef, le reste de la semaine sera en télétravail, l’ambiance est bizarre, prendre des livres et des disques qui me permettront de travailler à la maison, des maux de tête et une grande fatigue, rattraper mon retard dans Masterchef (trois épisodes en accéléré)

Mardi: une petite insomnie malgré tout, essayer de trouver mes marques, à vrai dire je n’ai pas de bureau et la grande table est en plein soleil le matin, me plonger dans les musiques de l’île Maurice, passer un moment au jardin, de la lecture (même si je dois faire de gros efforts de concentration), Better Call Saul

Mercredi: réveillée tôt après une presque bonne nuit, me mettre à travailler, ce beau soleil, ces contacts qui font plaisir, un énorme coup de pompe (avec courbatures), une mini sieste, travailler encore un peu, du jardinage qui me remet d’aplomb, deux épisodes de Breaking Bad, des angoisses

Jeudi: réveillée encore plus tôt, et toujours pas la grande forme, travailler un moment, recevoir un colis puis aller chercher un ordinateur portable sécurisé au boulot, y rencontrer trois collègues, l’installer à la maison, en fait ça me permet de mieux séparer les tâches, les maux de tête et les courbatures ont enfin l’air de s’atténuer, terminer la deuxième saison de Breaking Bad, une demi-heure de yoga anti-stress qui me fait beaucoup de bien, de la lecture

Vendredi: je me sens un peu moins fatiguée et je commence à prendre mes marques, demander de l’aide pour utiliser les touches de fonction (je n’avais pas repéré la touche fn), et puis un truc bizarre avec le pointeur de la souris qui est complètement décalé dans un programme spécifique, avancer sur plusieurs projets, un Maiden’s Blush Cocktail en duo sur Instagram avec Sylvain, le début de la troisième saison de Breaking Bad, Masterchef, Gardener’s world (je me suis endormie, comme le veut la tradition)

Samedi: une bonne nuit, aller faire mes courses très tôt dans un supermarché heureusement vide de monde (mais malheureusement encore vide de certains produits), traîner beaucoup, appeler mon papa (qui a l’air d’aller mieux), du jardinage intensif même s’il fait gris et froid, toujours pas de concentration pour la lecture, par contre le jeu ça va, un début de film et m’endormir devant vers 20h30

Dimanche: ce grand soleil, laisser des commentaires sur divers blogs, me poser des questions quant aux réseaux sociaux: je fatigue de leur côté anxiogène mais j’ai besoin de ces contacts, terminer cette chemise western en cousant boutonnières et boutons, du jardinage, répondre vertement et tourner le dos à ce voisin qui commence la conversation par « encore deux mois » (ce n’était pas la première fois qu’il m’énervait), mon autre voisine par contre est adorable – heureusement vu que c’est mon seul contact IRL, évidemment après j’ai culpabilisé pour cette réaction à fleur de peau, de la lecture, cuisiner un bon plat, encore un cocktail en commun – tiki cette fois-ci, suite et fin du film d’hier: The last sunset (Robert Aldrich, 1961) – il y a de l’aventure mais les histoires d’amour m’ont fait bondir (« tu m’épouseras » – la femme n’a rien n’a dire – et l’autre relation amoureuse était pédophile), la fin de Gardener’s World, de la lecture

Short diary of the week (280)

Lundi: une nouvelle journée de formation, en repartir avec une mission mais aussi bien fatiguée, cuisiner les plats pour les midis de la semaine, un selfie pour le #creativewinterchallenge, Call the Midwife, Crazy ex-girlfriend

Mardi: de l’écriture entrecoupée de préparation de nouveaux projets, mars sera bien rempli – il est même possible que j’ai trop de choses à faire, mon cerveau est en effervescence, mais ce soir j’ai surtout envie de terminer ce long roman, le retour de Masterchef de la BBC (en différé), terminer un livre et commencer le suivant

Mercredi: une journée de télétravail – une bonne décision quand on voit le peu de transports en commun qui roule – et donc même pas ma ligne, me concentrer sur les musiques boliviennes, profiter de la pause de midi pour remettre de la nourriture pour les oiseaux dans le jardin, une envie immense de chocolat mais ma réserve est au bureau, terminer de travailler à 16h et ne plus savoir quoi faire, un moment de flou, et puis me décider à tracer un nouveau patron de couture, cuisiner, le retour de The great sewing bee (en différé), Masterchef

Jeudi: un rendez-vous à la banque, de retour au boulot, un message qui me fait très plaisir, de nouveau des problèmes de métro, True Detective

Vendredi: non mais l’incompréhension dépasse toutes le bornes là, et en plus il y a un souci de prise de responsabilité, cette première partie de journée est vraiment pourrie, voilà que je me mets à déprimer à cause de ça et à cause de la météo de la semaine qui vient là où je vais, partir plus tôt pour préparer ma valise, parler avec ma voisine, True Detective, juste crevée et aller dormir

Samedi: me lever tôt et puis aller à l’aéroport, le temps est fort long dans l’avion, enfin arrivée à Madère, m’échouer comme une baleine après le repas du soir

Dimanche: une promenade, une sieste, piscine, un délicieux repas (ceci est délibérément court – je raconterai plus en détail plus tard !)