Short diary of the week (298)

Lundi: enfin ressortir une robe estivale, la fatigue du lundi matin, faire des recherches sur un nouveau pays, retrouver des listes anciennes, un apéro en terrasse puis un bon repas avec une amie plus vue depuis longtemps, une bonne soirée, un retour tranquille

Mardi: une mauvaise nuit (c’est presque toujours le cas quand je sors, même si je rentre tôt), écrire, oh encore des nouveaux disques !, lire au jardin, trop fatiguée pour attendre que le soleil se couche

Mercredi: un pays en plus qui est terminé, un immense coup de pompe, la folie du vélo chez mes collègues, rentrer plus tôt pour éviter la pluie (surtout quand j’ai vu ce qui est déjà tombé), presque plus de pluie, les aventures de mes voisins et de leurs voitures d’occasion, un fromage vraiment fort, deux épisodes de Buffy, une mauvaise passe de lectures: abandonner le livre en cours après 70 pages

Jeudi: le réveil me réveille en sursaut, de l’encodage – est-ce vraiment la dernière fois ?, pas envie de grand chose, une séance de shopping assez productive, Big Little Lies, Buffy

Vendredi: une mauvaise nuit – il suffit en général que j’écrive que ça va mieux pour que ça empire de nouveau, pas grand monde, une journée qui se passe, commencer Euphoria, un petit bout de Gardener’s World

Samedi: du rangement et une lessive, aller chez mon papa, les courses, tondre la pelouse, tailler l’autre haie, lire le reste de l’après-midi, il faut toujours avoir deux moulinettes, terminer un livre au jardin

Dimanche: partir avec ma voisine acheter des plantes, entrecouper la lecture par les plantations – quelques plantes à la fois, un barbecue, lire au jardin jusqu’à la tombée de la nuit

Short diary of the week (295)

Lundi: choisir une de mes robes préférées, des contrariétés au boulot concernant le travail au quotidien, le boucan infernal des jardiniers n’aide pas à améliorer mon humeur, revoir mes voisins rentrés de Grèce, What we do in the shadows, deux épisodes de Buffy

Mardi: un nuit au sommeil très léger, et donc les nouvelles sont mauvaises, et donc j’absorbe à nouveau toutes les tensions et ça ne me réussit pas, ah et les contrariétés d’hier ne sont pas terminées, une convocation pour lundi prochain, un repas un peu raté: les croquettes au fromage ne passent pas bien à l’airfryer, Chernobyl

Mercredi: des rêves bizarres et absurdes, une grosse inquiétude tout la matinée: pourrai-je aller à cet entretien s’il y a grève ou des piquets de grève, le soulagement quand j’apprends que ce ne sera pas le cas, des cocktails au LIB, des frites chez Frites Atelier (un peu sèches mais croustillantes, et avec une bonne sauce), et surtout pleins d’infos sur Hong Kong et un joli mug tiki

Jeudi: traîner sur internet, me lancer dans le rangement du garage, libérer toute une étagère, amasser quatre grandes caisses de cartons divers et un grand sac de frigolite, commencer la cave arrière mais en avoir marre, ne plus avoir assez de concentration pour lire, un plat improvisé avec le contenu du frigo et du surgélateur, Gentleman Jack

Vendredi: pas sûre que j’aie envie de continuer le rangement de la cave avec ce beau soleil !, faire les courses, le soleil a disparu !, aller à la déchetterie avec une voiture pleine, de la couture: coudre une jupe à plis sans patron est compliqué, de la lecture: enfin terminer ce livre commencé au début du mois, The Durrells – le début de la première saison, What we do in the shadows, Gardener’s world

Samedi: réveillée bien trop tôt, encore un voyage à la déchetterie pour liquider un vieux canapé – avec ma voisine et sa grande voiture, aller chez mon papa et le voir enfin un peu mieux, ah ben non cette vieille télévision est bien trop lourde même pour un homme fort, installer le parasol au milieu du jardin et lire à l’ombre, partir sur les routes, c’est beau la Meuse, revoir des amis plus vus depuis longtemps et profiter de cette belle fête d’anniversaire au jardin, mais pourquoi ces maux de ventre ?, rentrer dans la nuit

Dimanche: il fait déjà bien chaud ce matin, profiter de l’ombre au fond du jardin pour enlever une plante et la remplacer par deux autres, ce qui m’aura fait de l’exercice physique, rempoter les piments dans leurs pots définitifs (seuls 10 ont survécu sur les plus de 30 semés), m’installer avec un livre, sentir des angoisses monter, et encore plus quand je vois que les bambous de la voisine commencent à envahir mon jardin (ça ne s’enlève qu’au lance-flamme – ou presque – quand il s’agit de bambous traçants), un barbecue, encore lire au jardin et puis voir les nuages arriver et tout rentrer, une trentaine de grosses gouttes et c’est déjà fini, Buffy comme doudou avant d’aller dormir