Short diary of the week (264)

Lundi: une très mauvaise nuit – mes intestins ne coopèrent vraiment pas, rester au lit pour me remettre, ah zut c’est le jour des travaux annoncés sur l’internet, mais là heureusement ça fonctionne, annuler le rendez-vous à la banque, ah en fait les travaux sont reportés à demain, traîner beaucoup, coudre un peu, aucune concentration pour de la lecture, préparer du riz, Anthony Bourdain Parts Unknown en Asturies

Mardi: bien dormi mais pas assez – juste crevée en fait, de la chance avec les transports malgré la grève partielle, tenter de rattraper le boulot, un appel en absence de l’agent immobilier, et voilà que je me mets à paniquer, et donc il y a une panne sur le site pour lequel je travaille et on ne me dit rien, joindre l’agent immobilier qui voulait juste me donner une bonne nouvelle, la pression redescend un peu, du copier-coller tout l’après-midi en m’octroyant de courtes pauses parce que c’est particulièrement répétitif et lassant, le retour est laborieux et long dans des véhicules bondés, Better Call Saul

Mercredi: je dormais profondément quand le réveil a sonné, la course contre la montre commence, le pire c’est que c’est moi qui me l’impose mais je veux à tout prix terminer ce projet pour demain, ce manque d’honnêteté qui me fait bouillir, du copier-coller qui n’avance pas et qui me rend encore plus nerveuse, un fou rire: non le mail du directeur n’est pas un spam (il en avait tout l’air), j’ai fini l’encodage !, de la cuisine basique mais efficace, une discussion messenger qui se prolonge et puis de la lecture

Jeudi: le mail professionnel est interrompu, la fin de projet en cours, enfin des journées un peu moins stressantes, mettre à jour ma liseuse et y ajouter de nouveaux livres, un peu vexée par une réponse un peu trop directe, I’m dying up here, terminer mon roman

Vendredi: certains matins le choix des vêtements est compliqué, les trucs du vendredi – plein de trucs en retard en fait, réussir à tout terminer, rentrer chez moi en attendant de partir, et puis changer les plans et voir Sylvain plus tôt que prévu pour faire des courses indiennes, un verre au Chazal puis un repas belge au ‘t Potverdommeke en bonne compagnie

Samedi: une mauvaise nuit, traîner au lit encore un moment, je regrette déjà de ne pas pouvoir profiter du beau temps toute la journée, aller chez mon papa mais ne pas rester longtemps – après qu’il ait dit trois fois que je pouvais y aller, des courses en vitesse où j’oublie plein de choses, un mal de tête qui monte, me mettre au lit, déjà devoir partir, tout ce monde !, passer la soirée avec ma cousine et ses amis

Dimanche: une très mauvaise nuit (bis), j’en ai marre de ne pas réussir à récupérer les weekend, et ça joue sur mon humeur évidemment, le ciel tout gris aussi d’ailleurs, et puis le soleil revient et j’en profite pour aller au jardin pour planter quelques bulbes et enlever une plante qui prolifère et que je n’aime pas trop, et ça me fait du bien et je me sens de bien meilleure humeur, de la cuisine indienne: pas mal mais quelque chose a sans doute trop cuit – ce qui donne un peu d’amertume, No Reservations à Porto Rico, me mettre au lit fort tôt

Short diary of the week (256)

Lundi: une mauvaise nuit – la semaine risque d’être angoissante et mon cerveau le savait, et en effet voilà le premier mail a priori positif – sauf que mon cerveau ne le voit pas comme ça et je me mets à angoisser, me rendre compte que la date limite pour la vente est le 15 août (donc le 14) – au pire, il ne me reste que 9 jours à angoisser, du tri de disques, pas de réponses, rentrer chez moi où il fait frais, préparer un cocktail du LIB, sortir une fois que les températures ont baissé

Mardi: une mauvaise nuit – bis, appeler l’étude du notaire et apprendre que le document tant attendu a été envoyé là – toutes ces angoisses (enfin une partie) pour rien, parfois il faut changer de pays: le Kazakhstan donc, puis de la musique de film, rentrer chez moi et préparer à manger, et puis le rebondissement: l’acquéreur a engagé un autre avocat et il est presque sûr que l’acte ne sera pas signé pour le 15 août, ou comment se décomposer en quelques minutes, et comment perdre une soirée à ruminer, tenter de me calmer finalement devant deux (mauvais) épisodes de A Cook’s Tour

Mercredi: réveillée à minuit par l’orage, à nouveau réveillée plus tard par un second orage, réveillée à 5h30 à cause de mes nerfs, me lever vers 6h30 – au moins je serai tôt au boulot, quelle affaire pour créer ce pdf, le boulot comme d’habitude, le dossier suit son cours mais le délai de la vente va devoir être reporté – mon dépit est grand, mon père m’appelle pour me dire que quelque chose ne fonctionne plus mais il ne sait plus quoi, et il ne le sait toujours pas au troisième appel, je ne pourrai donc pas lui parler des suites de l’affaire, le temps des soirées passées au jardin a probablement pris fin – quelques sursauts sont encore possibles – revenons donc aux séries tv: The 100 puis le début de la nouvelle saison de Better Call Saul

Jeudi: une bonne nuit, attendre encore et encore, ma patience est vraiment mise à rude épreuve, bim bam bum ou babalu ?, et puis voici revenir cette inquiétude que tout tourne mal, envie de comfort food mais pas grand chose qui corresponde dans mon frigo, The 100, Harlots – début de la deuxième saison

Vendredi: une bonne nuit mais au bord de la crise de nerfs, les trucs du vendredi, de l’encodage, un peu de Cuba, enfin le week-end, The 100 – fin de la cinquième saison, commencer à m’inquiéter pour ma voiture qui n’est pas encore de retour après une sortie au garage et au contrôle technique, et bam – une voiture est rentrée dedans tandis que l’aide de mon papa la conduisait et le coffre ne ferme plus très bien, j’ai craqué – je n’en peux plus – je vais à nouveau devoir gérer et régler des trucs en plus

Samedi: une très mauvaise nuit, une matinée paresseuse, heureusement la voiture roule encore et ce ne sont que des dégâts de tôle froissée – mais quand même, des courses, du rangement, une agréable soirée entre amis

Dimanche: une journée passée au lit après une sérieuse crise de vomissements, aucune énergie