Short diary of the week (299)

Lundi: c’est parti pour une semaine de canicule, une robe d’été – une de mes préférées (qui malheureusement me serre un peu à la taille maintenant), du dérushage, de l’eau à la menthe, le petit bout d’airco dans le tram, lire au jardin et sentir la fraîcheur venir

Mardi: ma liseuse va-t-elle tomber en rade dans le métro ?, presque rater mon arrêt de métro, trouver un chargeur chez un collègue, de la Roumanie, des Etats-Unis, à 16h30 je ne me sens plus capable de travailler à cause de la chaleur (pas d’airco au bureau), terminer le roman en cours au jardin, me faire piquer par des bestioles juste avant de rentrer

Mercredi: une mauvaise nuit – mon cerveau a décidé d’être stupide – et j’ai donc angoissé pour le boulot, deux réunions – l’une plus animée que l’autre, de la lecture au jardin avec les avions qui passent

Jeudi: réveillée par les avions, un inventaire rapidement terminé, le drink de départ d’une collègue, une longue après-midi, pas envie de préparer grand chose pour le repas, terminer deux livres au jardin

Vendredi: continuer certaines choses, un repas et un drink de boulot au jardin avec un vieux tourne-disque pour la musique, c’est bien agréable sous l’arbre, passer un très bon moment, me sentir bien seule à la maison après tout ça, lire au jardin et déprimer un peu

Samedi: toujours d’humeur un peu triste, aller chez mon papa et lui proposer de ne pas se mêler des affaires des autres – ce qui lui évitera des problèmes comme ceux qu’il a eu (c’est un peu la cour de récréation parfois), les courses, commencer à vider la bibliothèque case par case (il y en a 54), une pelouse tondue en temps record, lire, un gazpacho bien frais, lire tout en me faisant attaquer par les moustiques, toujours un peu déprimée mais moins que ce matin

Dimanche: me réveiller après un rêve complètement tordu, du déménagement de bibliothèque – je suis à l’étage des lourds livres d’art, terminer la couture d’une blouse Rita et me battre avec l’élastique – dans l’idée de prendre des photos dans l’après-midi, un peu de jardinage, de la lecture, à nouveau tirer le mauvais lot dans mes lectures – quand cette mauvaise passe finira-t-elle ?, sortir l’appareil photo, installer le tout, me rendre compte que la pile de la télécommande est plate, l’internet me sauve: je recevrai une nouvelle demain, un barbecue, tenter un autre roman, toutes ces piqûres provoquent des démangeaisons – elle changent juste de place selon les jours

Short diary of the week (250)

Lundi: un sommeil relativement convenable mais encore fatiguée, une réunion, encore une semaine très hachée au niveau du travail, mais retrouver quand même un début de continuité, profiter des ventes couplées pour acheter des sous-vêtements et des t-shirts, Parts Unknown au Bhoutan, de la lecture – ou comment je m’attache de plus en plus à ce roman très dense et regrette de ne pas avoir plus de temps pour continuer

Mardi: une bonne nuit, organiser la saison prochaine du grand projet (avez-vous déjà entendu parler de Nauru ?), un drink de départ à la pension dans le jardin du bureau, faire des comptes, trier des disques, lire au jardin, rentrer parce qu’il fait un peu frais et que j’ai envie de voir un épisode de No Reservations (au New Jersey)

Mercredi: réveillée tôt et somnoler un moment, ce mail n’est pas du tout agréable, être distraite et donc ne pas faire ce qui était prévu, trier des disques, encore un coup de fil quelque peu désagréable – vivement le mois d’août que tout cela soit derrière moi, m’inscrire à it’s me – pour une fois que l’administration belge devient facile à utiliser !, des restes, lire au jardin

Jeudi: du tri de cd, les bretelles de cette nouvelle robe tombent constamment, un inventaire très animé, une grosse fatigue, A cook’s tour à Tokyo (quant à regarder tous les docus d’Anthony Bourdain autant commencer par le début), de la lecture au jardin

Vendredi: les trucs du vendredi, de l’organisation pour les projets en cours, commander mes sandales favorites en soldes (dans une autre couleur), et puis c’est le drink de fin de saison de notre service, une agréable après-midi à discuter avec des collègues dans le jardin attenant au bureau, un peu ivre, un repas simple, terminer mon roman au jardin et commencer le suivant

Samedi: une très mauvaise nuit, je suis un peu triste et anxieuse: aujourd’hui le vide-maison vide la maison paternelle, des courses alimentaires de tôt matin, une sieste le matin, aller chez mon papa, une sieste l’après-midi, je me sens enfin un peu mieux, de la lecture, et encore de la lecture

Dimanche: rafraîchir la maison, le retour du vélo devant TBBT S03E09 (où Bernadette accepte de sortir avec Howard), tenter de trouver une solution pour les bretelles de robes qui tombent, ne pas trouver de ruban qui convient et de toutes façons avoir la flemme de coudre des pressions minuscules, de la lecture sous un arbre, de la préparation pour mon voyage au Japon, et donc comparer les guides: le vieux Rough Guide est bien plus complet que le (nouveau) Lonely Planet, quant aux cartes parfois le Guide Bleu est le meilleur, de la lecture, un barbecue, de la lecture, rafraîchir la maison

Short diary of the week (175)

Lundi: cette météo sombre ne pousse pas à sortir du lit, des courses alimentaires, le soleil est revenu, des courses non-alimentaires, trouver deux soutiens-gorge soldés, finir un livre pas des plus passionnants, un plat japonais hyper facile, Westworld, Agent Carter

Mardi: je n’arriverai jamais à publier tous ces billets livres avant la fin de l’année ! – bref ça débordera, TBBT S01E11, de la couture, de la lecture, me rendre compte que mon appréciation de certains livres dépend de mes connaissances préliminaires sur le sujet, cuisiner et mettre à jour l’ordinateur et chatter – le tout en même temps, un plat indien, Doctor Who – l’épisode de Noël qui me laisse de marbre, Agent Carter

Mercredi: est-ce que je me serais trompée d’heure et de jour ? – il n’y a personne en rue, retour au boulot, bien avancer sans être dérangée, Agent Carter, Vikings – personne ne m’avait dit que ça avait recommencé, Man Seeking Woman

Jeudi: ma jupe serre un peu trop, si je défais le bouton personne ne le verra, encore une journée où ça avance bien, oh mais il est déjà l’heure de partir !, rendez-vous à la Pharmacie Anglaise pour deux tournées de cocktails à quatre – ce qui en fera 7 de goûtés – une grande partie de la carte, discussions de blogueurs, traverser Plaisirs d’Hiver un peu abandonné pour aller manger chez Horia Eatery, une assiette mezze assez gigantesque mais terminée – ou presque – grâce à l’aide de mes voisins de table, -2° indique le thermomètre à la Bourse, frissonner en rentrant

Vendredi: une mauvaise nuit et pourtant je n’avais pas bu de thé à la menthe, tout est blanc, un collègue qui me rejoint dans le tram, un drink de fin d’année assez animé même si on n’est pas beaucoup, un reste d’après-midi plus très productif du coup, rentrer, attendre un moment, dégivrer la voiture, faire des courses, passer chez mon papa, déprimer après l’avoir vu en craignant les mois à venir – la personne qui l’aide risque fort bien d’être en congé maladie pendant un temps, la fatigue n’aide pas et quelques larmes coulent, manger des crasses devant Agent Carter, l’épisode de Noël de Call the Midwife où je pleure encore plus – évidemment

Samedi: ne pas réussir à me réchauffer même enveloppée dans deux couvertures, terminer la couture d’une robe, commencer un projet de jupe, de la lecture, ne pas réussir à choisir un cocktail, me décider finalement pour un Baie du Galion, découper la bête, regarder Silver River de Raoul Walsh et lutter pour ne pas m’endormir – plus par fatigue – le film est assez rythmé, entendre les feux d’artifice dans un demi-sommeil

Dimanche: hésiter avant d’écrire ce court billet à propos de l’absence de projets pour l’année 2017, TBBT S01E12, cette jupe est pas mal mais avec la doublure elle risque d’être trop serrée – hésitations hésitations – laisser tout en plan – de toutes façons il me manque une tirette, pas le courage de terminer ce livre un peu compliqué, jouer plutôt à King Rabbit, parfois préparer un cocktail prend beaucoup de temps – pour finir par faire des photos très moyennes – mais il était délicieux !, 3 godfathers (John Ford, 1948) ou un mélange d’histoire de Noël et de Trois hommes et un couffin en mode western