Short diary of the week (260)

Lundi: tenter les sandales malgré le ciel tout gris, c’est la rentrée: vive les mauvaises nouvelles au boulot, une me fâche surtout par son incohérence, voir deux deadlines arriver (fin septembre) et ne pas être sûre de pouvoir les atteindre vu la quantité de choses qui reste à faire, rentrer tôt et puis juste traîner dans le canapé – ce qui me fait râler, Legion, I’m dying up here

Mardi: mes nuits ont l’air d’avoir retrouvé une certaine sérénité, pas qu’elles soient parfaites: je me sens toujours un peu fatiguée le matin mais plus épuisée comme à d’autres moments, tout le monde est d’accord sur les incohérences du moment, et du coup le boulot s’en ressent un peu, de même que mon énergie à faire des choses en rentrant, Better Call Saul, No Reservations à Las Vegas

Mercredi: des rêves bizarres, avancer sur plusieurs plans, jusqu’à ce qu’il y ait une panne, le contrôle des grains de beauté – résultat: j’ai une belle peau et aucun souci, Legion, I’m dying up here (et avoir du mal à rester réveillée – ce qui semble être la nouvelle norme du soir)

Jeudi: les incohérences continuent à faire des vagues, me rendre compte que je vais devoir travailler sur l’autre projet pour qu’il soit fini à temps, un rendez-vous chez l’ophtalmologue – tout va bien, quelques courses avant de rentrer, scanner quelques dias, I’m dying up here

Vendredi: les trucs du vendredi, ctrl c ctrl v – ou comment remplir son après-midi d’une manière très ennuyeuse, des maux de ventre, préparer un curry de poisson srilankais en ne suivant pas tout à fait la recette tout en écoutant un groupe du Niger, I’m dying up here – la fin de la première saison – une série plaisante

Samedi: d’humeur un peu morose – l’arrivée de l’automne et l’imminente fin de la question de la maison paternelle sont probablement en cause, terminer de scanner la première boîte de dias, un coup de fil de mon papa juste pour me dire qu’ils sont quatre maintenant à table et qu’il n’aime pas, aller chez lui puis faire les courses, du jardinage, de la lecture, de la cuisine, un film: I, Tonya (Craig Gillespie, 2017)

Dimanche: réveillée bien trop tôt pour résoudre mes problèmes de fatigue, la nouvelle saison de la zumba a commencé, terminer une robe grâce à l’aide de ma voisine qui a épinglé les bretelles à la bonne hauteur, terminer le gros livre sur les musiques de Cuba, continuer mon roman, cuisiner, m’endormir devant Three billboards outside Ebbing, Missouri

Short diary of the week (257)

Lundi: une mauvaise nuit avec de la fièvre, des maux de ventre de plus en plus violents, au moins ça a l’air simple pour l’assurance de la voiture, un massage tout à fait imprévu – c’est ça aussi l’amitié – merci !, une accalmie, des maux de ventre qui recommencent de plus belle puis s’atténuent enfin avec du buscopan

Mardi: aucune énergie, un rendez-vous chez le médecin en fin de journée parce que j’ai besoin d’un certificat médical pour mon deuxième jour d’absence, faire quelques courses parce qu’il faut bien remplir le frigo, ne pas faire grand chose, des avancées dans le dossier mais rien de très concluant, un premier repas complet, Better Call Saul, A Cook’s Tour (barbecue puis l’Australie), pleine d’énergie au moment d’aller dormir

Mercredi: un sommeil pas très récupérateur, fatiguée dès le matin, mais incapable de faire une sieste, terminer ce fantastique livre et regretter de l’avoir terminé, du découpage de tissu, rassembler toutes les dias de mon papa et vider trois caisses par la même occasion, faire une liste de tous ses voyages mais ne pas retrouver d’informations avant 1971, un repas léger, Harlots, I’m dying up here, mon cerveau ne veut pas se taire

Jeudi: congé !, encore si fatiguée, la crainte des mails qui risquent d’arriver, de rapides courses avec le plaisir de revoir le conseiller en vins que j’avais systématiquement raté depuis deux mois, de la couture – mmmh c’est un peu compliqué et pas très logique, lire au jardin, un joli cocktail au concombre, Harlots, I’m dying up here – en fait non l’épisode 5 n’est pas le 5, A Cook’s Tour à Melbourne

Vendredi: réveillée par l’orage, écrire un billet de blog, un court moment de couture, retrouver Gasparde chez Cook’n’Book pour le lunch, ne plus faire grand chose du reste de l’après-midi, un coup de fil de mon père qui me demande pourquoi je ne suis pas venue – il pensait qu’on était déjà samedi, Harlots, commencer Sharp Objects et retrouver ce style si particulier de Jean-Marc Vallée

Samedi: des maux de ventre pendant la nuit, faire une liste mentale des choses à faire ce matin, un peu de couture, ranger les thés, aller chez mon papa, à nouveau un peu de couture, de la lecture, partir et me dire que suis bien à temps, sauf que la route est barrée, et presque toutes les routes sont barrées, après une demi-heure à tourner en rond je suis près du désespoir, j’arrive finalement quasi une heure plus tard, un barbecue et une agréable soirée entre amis, le retour se fait sans encombres heureusement

Dimanche: traîner dans le canapé (mais je suis à jour dans mes brouillons de billets lecture), de la couture – où je décide que les instructions sont vraiment trop compliquées: pourquoi faufiler la partie un puis faufiler la partie 2 alors qu’on peut tout coudre en un coup définitivement ?, oh le soleil est là, changer mes plans et abandonner la couture pour aller lire au jardin, Sharp Objects, Harlots

Short diary of the week (226)

Lundi: un sommeil fort agité et un réveil qui sonne au moment où je vais me rendormir, trop de choses à faire et donc un cerveau qui ne veut pas s’arrêter, mettre ma nouvelle robe, tenter d’organiser un projet – suite et pas fin, c’est de plus en plus compliqué même, un autre projet est bloqué pour des raisons informatiques, l’impression d’avoir couru dans tous les sens, enfin à la maison, Vikings et puis tout simplement m’écrouler au lit avant 22h

Mardi: mauvais sommeil – suite, ça avance – un peu, un gros énervement suite à du matériel capricieux qui m’empêche de graver un disque, la solution: changer le graveur – merci à mon collègue !, finalement après un moment le principal est fait et je peux enfin me poser un instant, un rendez-vous en ville et une soirée à discuter à la Brasserie Bozar, ne pas rentrer trop tard et traîner encore un peu avant de me mettre au lit

Mercredi: une meilleure nuit, régler une série de choses à la poste et à la maison communale, aller dans la maison paternelle, repartir avec le décodeur tv qui doit être rendu en magasin, prendre des informations dans une agence immobilière, trier et encore trier, recevoir de l’aide et ramener plusieurs caisses de vaisselle chez moi – un joli service Boch (Carlotta, Bonaparte et Ney), enfin me poser, préparer à manger, regarder les trois derniers épisodes d’Alias Grace – pas mal comme série mais je me pose pas mal de questions sur l’histoire – ce qui est sans doute voulu

Jeudi: c’est reparti pour une journée de tri mais j’ai de l’aide, et elle a apporté le petit déjeuner, ne pas avancer – le tri des papiers est toujours longs, et puis avancer très vite, une visite d’agent immobilier, me forcer un peu et terminer le tri par la cave, rentrer chez moi, deux nouvelles séries: The end of the f***ing world et Babylon Berlin – mais où sont les femmes ?

Vendredi: mon cerveau n’a pas voulu s’arrêter cette nuit, de retour au boulot, les trucs du vendredi, chercher un scanner à diapositives et me dire que finalement mon scanner de bureau sera le plus efficace, passer chercher les extraits de banque de mon papa, Garden of Evil (Henry Hathaway, 1954) – un début qui ne me passionne pas trop mais une seconde partie haletante

Samedi: pas en forme ce matin – avec des nausées, mais je vais quand même travailler dans la maison paternelle, tous ces verres à emballer, remplir deux voitures de caisses qui vont encombrer ma cave avant d’être mieux rangées, une visite chez papa qui me dit se sentir bien – il a même des projets !, des courses, et puis plus rien: trop fatiguée pour faire autre chose que jouer à Simon’s Cat, un repas léger, un épisode de Babylon Berlin et deux épisodes de The end of the f***king world qui me charment tous les trois par l’utilisation de la musique

Dimanche: repos, oui mais il y a aussi des lessives à faire, trier des photos – la fin approche, c’est en ne faisant pas grand chose que je me rends compte que je suis vraiment fatiguée, sortir le scanner de l’armoire et tester la numérisation de dias – et tout fonctionne ! – par contre c’est lent, le ciel est en feu quand je pars, des dim sum au Yi Chan, un concert de Senyawa à l’AB – oublions le chœur de femmes qui me donne des boutons mais retenons la musique entre rock et xprmtl des deux Indonésiens, revoir des amis pas vus depuis… plus de 10 ans