Short diary of the week (320)

Dimanche: (une fois n’est pas coutume, je commence par le dimanche) réveillée vers 1h puis vers 4h et finalement me lever vers 6h, déprimer sérieusement, l’exprimer en story Instagram et recevoir plein de mots gentils, braver la pluie pour remplir un minimum le frigo, aller voir mon papa – une visite qui commence mal mais on se calme tous les deux après un moment (il a vraiment perdu toute notion du temps et est devenu très anxieux), vider mes valises et ranger mes affaires, transférer mes photos et commencer à les regarder, cuisiner un bon plat, The Crown, je ne tiendrai pas éveillée plus longtemps mais j’ai quand même tenu jusqu’à 21h

Lundi: réveillée vers 6h – c’est pas si mal, de retour au boulot où beaucoup de choses ont changé – et ce n’est pas fini, faire la tâche prévue pour aujourd’hui, rentrer plus tôt pour aller chez le dentiste, tout comme l’année passée il est un des seuls qui comprend bien ce qui se passe avec mon papa – ça fait environ trente ans que nous sommes ses patients, The Crown, lutter pour ne pas m’endormir, céder à 21h

Mardi: 6h35 ce matin, la tâche un peu corvée, parler un long moment avec ce collègue qui est surtout un ami (et le rendre un peu jaloux avec mon histoire d’enka), discuter enfin avec mon chef qui était fort occupé et établir le plan de travail pour les prochains jours, cuisiner un plat au basilic – les herbes aromatiques du genre sont inexistantes au Japon et j’étais un peu en manque, commencer à regarder un documentaire d’Arte sur le shoyu mais m’endormir en plein milieu, me réveiller et décider d’aller au lit, cette dernière heure à rattraper est la plus compliquée

Mercredi: une réunion comme dans le passé (qui me fâche et me déprime en même temps), établir un plan de travail pour rattraper le passé justement, l’impression que c’est la course, zut le documentaire d’Arte sur le shoyu n’est plus en ligne, The Crown

Jeudi: un rendez-vous, établir cette longue liste de médias manquants, me rendre compte que ce genre de travail me pèse un peu, y passer la journée pourtant, et regretter de ne pas avoir pu écrire une lettre cette semaine, un gros coup de fatigue et mal à la gorge, The Crown

Vendredi: la pluie…, la cérémonie pour le décès de ma tante remplie de beaucoup d’émotions, et avoir beaucoup de mal parce que cela renforce mon sentiment de solitude, la pluie pour rentrer, mes yeux tout fatigués d’avoir pleuré, préparer un bon repas tout simple, The Crown

Samedi: du rangement, aller chez mon papa qui est de meilleure humeur – ça fait du bien, des courses, commencer une nouvelle robe, de la lecture, me dire que ça fait une semaine que je suis rentrée et que le jetlag doit être guéri: et bien non ! m’endormir comme une masse devant un film – cela fait donc quatre ou cinq jours que je peine à rattraper cette dernière heure

Dimanche: une belle lumière ce matin, le solstice se rapproche et cela me met en joie, du rangement, terminer le roman en cours, un nouvel épisode de ma formation à la photographie décomplexée, me rendre compte avec beaucoup de dépit que Polarr (mon programme de retouche photo préféré) ne fonctionne plus après la dernière mise à jour de mon Mac, cuisiner, la suite et la fin d’un très beau western: Day of the outlaw (André de Toth, 1959), et donc il a fallu une semaine entière pour surmonter le jetlag

Short diary of the week (218)

Lundi: entrer à nouveau dans l’espace aérien européen, ne pas vraiment réussir à beaucoup dormir, une bonne connexion wifi à l’aéroport de Munich qui raccourcit le temps d’attente, ne pas me sentir à ma place entre tous les businessmen dans l’avion vers Bruxelles, home sweet home, une longue sieste, le retour des plats qui m’ont manqué: le spaghetti bolognaise, revoir avec plaisir certains endroit où j’ai été dans The best exotic marigold hotel, résister jusque 21h30 avant de m’endormir

Mardi: réveillée vers 6h, levée vers 7h, moins 2kg après le voyage, remplir le frigo, faire une première lessive, rentrer les plantes exotiques fragiles, transférer toutes les photos sur l’ordinateur et faire un premier tri, un peu de lecture, la fin de The best exotic marigol hotel et le début d’Anthony Bourdain Parts Unknown à Pittsburgh avant de m’endormir vers 21h

Mercredi: retour au boulot, trier des dizaines de mails, en avoir déjà marre en début d’après-midi, me sentir fatiguée, rentrer dans le noir, découvrir que Masterchef The Professionals a recommencé sur la BBC mais d’abord regarder la fin d’Anthony Bourdain Parts Unknown à Pittsburgh, sentir mes paupières s’alourdir mais tenir jusqu’à 22h

Jeudi: le réveil sonne au moment où je me rendormais profondément, une journée qui avance plus vite qu’hier, avec un bonne dose d’organisation du futur, Anthony Bourdain Parts Unknown au Sri Lanka (au nord où je n’ai pas été), Masterchef The Professionals – sauf que je m’endors au milieu

Vendredi: mes intestins n’ont clairement pas encore retrouvé leur équilibre, les prochaines semaines je risque de faire une overdose de Nusrat Fateh Ali Khan, une commande aux Pays-Bas, une recharge pour mon téléphone totalement gratuite grâce à mes achats couplés, du thon grillé, m’endormir encore plus tôt – je tentais de regarder un film japonais

Samedi: une nuit de quasi 12 heures – j’espère que ça suffira à me remettre dans un rythme normal, le chauffage est allumé et je suis sous une couverture mais j’ai toujours froid – un sentiment qui ne fait que commencer et qui me poursuivra jusqu’au printemps, une machine à laver récalcitrante – elle ne démarre qu’au troisième essai, la vie quotidienne reprend avec ce sentiment désagréable que tout est compliqué, une visite chez mon papa, des courses, une immense pile de repassage, commencer le tri des photos, une seconde tentative de film japonais (Après la tempête d’Hirokazu Kore-eda – 2016) mais abandonner par ennui, une infusion au gingembre pour calmer les maux de gorge apparus soudainement, Anthony Bourdain Parts Unknown à Porto Rico

Dimanche: une mauvaise nuit (la faute au gingembre ?), aucun courage pour aller à la zumba, batailler avec la machine à laver qui ne veut plus effectuer un programme en entier, décalquer un nouveau patron – la robe B6380 de Gertie chez Butterick, trier des photos (une constante pour les mois qui viennent), terminer un livre commencé il y a plusieurs mois au jardin, un bon repas, Feud, Longmire – début de la saison 6, le jet lag a l’air d’être passé – reste le rhume

Short diary of the week (172)

Lundi: débarquer de l’avion avec du retard, tenter la sieste mais ne pas y arriver, vider la valise, corriger ma voisine qui pensait que j’étais à Koh Lanta et qui ne connait pas le Sri Lanka, m’endormir comme une masse vers 20h

Mardi: suite du rangement, traîner beaucoup, Anthony Bourdain Parts Unknown à Buenos Aires, m’endormir comme une masse vers 21h20

Mercredi: une nuit agitée, retour au boulot, encore un qui n’a rien compris ! (vive le retour au boulot), Masterchef the Profesionals, 21h ce soir

Jeudi: réveillée tôt, tôt au boulot, ça me fait une longue matinée évidemment, juste envie de dormir, ce n’est pas cette semaine que ce que j’écrirai sera très intéressant, Masterchef the Professionals, toujours 21h, ce moment où il n’est tout simplement plus possible de garder les yeux ouverts même si on lutte très fort est extrêmement frustrant

Vendredi: pas mieux, Masterchef the Professionals du jeudi, m’endormir un moment mais tenir jusque 22h ! yeah !

Samedi: un moment de déprime partagé dans un billet, une reprise en main, mon papa qui me propose de repartir en voyage cet hiver – ce que je refuse parce que je ne veux pas accepter qu’il paye tout, mais l’idée me travaille, des courses, de la couture (et des fils partout à cause du tissu qui s’effiloche), de la lecture, Class, Anthony Boudain Parts Unknown à Rome (des souvenirs de ces très bons moments passés là quand j’avais 20 ans) et Ostia (des souvenirs de la plage)

Dimanche: de retour à la zumba après une longue interruption, terminer de coudre une jupe en tissu pour tentures, terminer un livre et continuer un autre, un très bon repas de gibier, The Crown, Class – un épisode qui m’ennuie mais je vais être obligée de continuer: la suite de l’histoire est dans l’épisode suivant