Lundi: ce truc bizarre où au milieu de la nuit mes pensées faisaient des loopings dans ma tête comme les avions dans le film vu hier, mon cerveau en overdrive donc, le résultat au matin est une grosse fatigue, commencer un article important mais pour lequel je n’ai pas encore tous les éléments, me brûler le doigt en préparant le repas du midi, le film de l’après-midi pour le boulot, wow quel film ! (The Power of the Dog de Jane Campion), de la lecture, me sentir mal tellement je suis crevée, 30° in February
Mardi: de la procrastination comme d’habitude, de l’écriture, attendre les ouvriers pour les réparations au toit, encoder et publier ma critique cinéma pour demain, l’installation d’un échafaudage, rentrer encore quelques plantes fragiles, de la lecture, 30° in February, deuxième épisode de Sabena
Mercredi: continuer le texte d’hier, les bruits sur le toit, un coup de pompe subit et gigantesque alors que j’étais en pleine forme, publier un autre texte, terminer le livre sur les actrices américaines des années 1930 et avoir envie d’entamer dans la foulée celui sur les acteurs de la même époque, les pieds glacés depuis ce midi, sortir les grosses (et vieilles) chaussettes (vous vous souvenez de la mode des Burlington ?), Murder d’Alfred Hitchcock mais je ne trouve pas ça très passionnant, les plans qui changent à nouveau pour vendredi
Jeudi: une longue nuit de 10 heures, lancer les mises à jour du mac, de la lecture tout l’après-midi entrecoupée d’une sieste, un ragoût de champignons à la crème et à l’estragon, Bake Off Vlaanderen, Sabena épisode 3
Vendredi: une angoisse de tôt matin: la chaudière ne s’est pas mise en route, la panne classique: il fallait rajouter de l’eau au circuit, journée boulot aujourd’hui parce qu’il faut bien faire cette interview, préparer les questions, et puis aller les poser (et passer un bon moment), les ouvriers continuent les travaux sur le toit (et n’arriveront pas à terminer avant la nuit), des courbatures de fatigue, de la lecture, Sous les toits de Paris (René Clair, 1930) – on ne peut pas dire que c’était passionnant
Samedi: de la lecture de blogs, de la couture – ce passage délicat autour de l’encolure, un second billet à propos de mon voyage en Andalousie (avec le suspense de la grève au matin), j’avoue que j’hésite à continuer vu l’absence de lecteurs, de la lecture – envie d’avancer dans ce roman, Bandolero ! – un western classique d’Andrew V. McLaglen (1968)
Dimanche: dormir longtemps pour cause de mauvaise nuit (le bouquin que je lis sur le sommeil parle d’un bouton on-off entre éveil et sommeil – il est clairement cassé chez moi certaines nuits, comme celle-ci où il a fait on-off-on-off-on-off…), du tri de photos, terminer le roman en cours, de la lecture d’autres choses, Kodoku no Gurume – ça m’avait manqué !, Garden Rescue