Emma John, Self contained. Scenes from a single life: ça me disait bien de lire les pensées d’une autre femme célibataire ! Mais disons le tout de suite, je n’aurais pas dû, je me suis ennuyée, j’ai même passé quelques lignes, espérant trouver un intérêt dans ce livre avant la fin. Je n’ai rien contre l’auteur, qui est au début de la quarantaine quand elle a écrit ce livre (pendant le confinement), mais la seule chose qui la démarque un peu de toutes les madames-tout-le-monde, c’est qu’elle vit seule. Si j’avais écrit ma vie, ce serait tout aussi ennuyeux. Emma John raconte donc sa scolarité dans une école pour filles (ah tiens, moi aussi), ses études où elle s’entoure surtout de garçons, son groupe d’amis qui se distend avec les mariages et maternités, ses quelques relations amoureuses (oui, elle en a eu, comme moi d’ailleurs), son boulot de journaliste, son amie atteinte du cancer dont elle s’occupe, le cancer de sa maman, le mariage de sa soeur et très vite son nouveau rôle de tante… J’avais été attirée par la quatrième de couverture qui parlait des voyages en solo, mais ce thème n’est pas vraiment développé. Bref, j’ai perdu mon temps, il n’a pas réussi à me faire sourire, ni à m’identifier à elle, et pourtant il y avait un certain potentiel… Je me laisse à chaque fois avoir avec ce genre de livres, et chaque fois, je me dis que je dois arrêter de les acheter ! Mais parfois, il y a une perle dans le lot, et donc je continue.
Ah zut ! Oui tu as raison, il y a forcément une perle quelque part !
oui ! et j’en ai lue une quelques semaines plus tard ! j’en parle bientôt.
J’ai bien ri à « Si j’avais écrit ma vie, ce serait tout aussi ennuyeux. » J’aurais pu être curieuse de ce livre moi aussi, donc merci pour ton avis.^^
bah oui 😀 (je me rends bien compte que ce que j’écris ici dans mes short diaries est extrêmement répétitif).