
Tommy Orange, There there: le roman raconte l’histoire de douze personnes d’origine indienne qui sont en route vers le grand powwow d’Oakland: Jacquie Red Feather l’ancienne alcoolique ayant abandonné sa famille, Dene Oxendene qui filme des interviews en souvenir de son oncle décédé, Orvil, l’adolescent qui a appris les danses traditionnelles en regardant des vidéos sur le net, et d’autres personnages dont certains aux intentions peu recommandables. Cette multitude d’hommes et de femmes m’a très vite perdue, d’autant plus que le chronologie est aussi fragmentée. Et dès les premières pages, j’ai eu du mal avec le style très contemporain d’écriture. J’ai sans doute manqué de concentration dans ma lecture, et d’attachement aux personnages, et je suis donc complètement passée à côté de ce roman que j’ai quand même terminé parce qu’il n’est pas très long. Je vous renvoie donc vers des critiques plus positives et plus nuancées, celle d’Electra, de Marie-Claude ou de Jackie Brown. Je rajouterais également que je l’ai lu à un moment où je déprimais pas mal – au mois de septembre – mon état d’esprit recherchait clairement quelque chose de moins urbain et de plus feelgood à ce moment-là.

C’est vrai que j’ai lu d’autres billets évoquant une narration un peu difficile à suivre. Peut-être que cal passe mieux quand on est prévenu…
et quand on le lit en version papier, pas en ebook, qui rend les retours en arrière plus compliqués.
Dommage…
Pour le feel good, il y a mieux, hein?!
oui, je pense aussi que c’est dommage, mais je ne voulais pas me forcer non plus à aimer… et en effet, il y a mieux pour le feel good 😉