Abandoned books (VII)

Lionel Shriver, Big brother: Pandora n’a pas vu son frère depuis quatre ans. Quand celui-ci arrive chez elle, en quête d’un endroit pour vivre un moment, elle est interloquée par sa prise de poids extrême. Surtout qu’elle et son mari ont toujours fait très attention à leur nourriture. A priori, l’histoire pouvait m’intéresser mais dès les premières lignes, j’ai été déçue par le style très plat, inexistant même. J’ai malgré tout continué pour abandonner après un quart du livre: l’histoire n’avançait pas, faisant des détours inutiles et inintéressants.

Paul Theroux, The old Patagonian Express: by train through the Americas: j’avais déjà souffert en lisant le récit se passant en Chine, j’ai abandonné celui-ci après 70 pages. Je n’accroche vraiment pas au style de l’auteur. Il raconte son voyage, mais surtout les rencontres fortuites et j’ai toujours l’impression qu’il a un sentiment de supériorité face à elles, qu’il se moque un peu. Mais je sais aussi que ses livres restent des classiques de la littérature de voyage…

M.O. Walsh, Soleil brisé: Bâton Rouge, Louisiane – un homme adulte raconte cet été de 1989 où sa voisine de 14 ans a été violée. Le sujet me tentait, le fait que cela se passe en Louisiane aussi, mais après 70 pages je m’ennuyais: je n’ai pas accroché au style ni à l’histoire, sans vraiment réussir à mettre le doigt sur ce qui me dérangeait. Sur goodreads, les avis sont très partagés.

Amy Stewart, La fille au revolver: j’avais adoré The drunken botanist mais quand Amy Stewart se met à la fiction (quoique inspirée d’une histoire vraie), ça passe moins bien. Après avoir lu presque la moitié, je m’ennuyais sérieusement – il n’y a pas beaucoup d’action et le style ne compense pas ce manque – et j’ai donc abandonné.

4 réponses sur « Abandoned books (VII) »

  1. Je n’ai lu que Big Brother, sur les trois. Et si je l’ai personnellement lu jusqu’au bout, je te rejoins complètement sur ces longueurs. Dommage, car son suejt était prometteur. Après le choc qu’avait provoqué la lecture de « Il faut qu’on parle de Kevin », qui reste l’un des romans qui m’a le plus marquée, je n’ai connu que des déceptions, avec Lionel Shriver.

  2. Lionel Shriver est une femme, contrairement à ce que son prénom pourrait laisser croire (c’est un pseudo, bien sûr). Et comment ça, « je ne t’encourage pas » ?! « Il faut qu’on parle de Kevin » est un incontournable ! Bon, je ne suis pas sûre que ce serait sa tasse de thé, mais c’est un roman diabolique dans le sens où il fait cogiter le lecteur même des jours et des jours après en avoir fini la lecture.. Si tu veux en savoir plus, mon lien vers le billet correspondant (à lire en diagonale ou juste le début et la fin, parce qu’il est trop exhaustif concernant l’intrigue) : https://bookin-ingannmic.blogspot.com/2013/03/il-faut-quon-parle-de-kevin-lionel.html

    Bon dimanche !

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