Short diary of the week (287)

Lundi: le réveil est un peu difficile avec le changement d’heure, et puis c’est lundi, asphyxiée par des parfums capiteux dans un métro bondé, des corrections, du tri de disques, un rendez-vous à la banque, un visite chez Atelier Moondust, préparer une quiche pour les repas de midi de la semaine, The good fight, Crazy ex-girlfriend

Mardi: des rêves bizarres, un métro bondé une fois de plus, du tri de disques, être toute mouillée par la pluie, des bêtises à la tv

Mercredi: mais d’où vient ce mal de gorge, il empire à vitesse fulgurante, corriger des textes, des frissons, ça ne va plus du tout et je rentre à la maison pour dormir avec du Dafalgan, des nems surgelés et une salade, la finale de The great British sewing bee, une tisane au gingembre et au citron, terminer mon roman et hésiter à propos du choix du suivant

Jeudi: une nuit très agitée, ne pas aller travailler, prévenir mon chef et aller me recoucher, trier des photos, des semis, de la lecture, de la fatigue

Vendredi: manquer de faire une crise de claustrophobie dans le métro bondé – une fois de plus, ça va mieux mais ce n’est pas fini, mais être capable de fonctionner au travail, la fatigue est grande quand même, enfin à la maison, les premières asperges de la saison, commencer les deux séries conseillées par un ami: Derry Girls et Fleabag – avec une petite préférence pour la seconde, Gardener’s World et une envie de pivoines

Samedi: sans trop me dépêcher j’arrive à caser la visite chez mon papa et les courses le matin, ce qui me permet de jardiner une grande partie de l’après-midi: vider les pots de l’année passée et préparer les carrés pour le potager, de la lecture, un western plutôt ennuyeux: The wonderful country (Robert Parrish, 1959), lire encore quelques lignes de mon livre et me décider à l’abandonner

Dimanche: réveillée en sursaut par un cauchemar (lié au boulot – c’était vraiment angoissant, je finissais par tenter de tuer quelqu’un), ce rhume qui reste juste un peu présent, me traîner à la zumba (oui, c’était dur, comme si la fièvre était revenue), des travaux de jardin: planter les dahlias et les lys, semer des légumes de printemps, sortir le lit de jardin et m’y installer avec un bouquin, cinq minutes plus tard la pluie commence à tomber pour s’arrêter 10 minutes plus tard mais je n’ai plus eu le courage de ressortir, ou comment une recette de cocktail peut devenir intéressante avec le bon ingrédient, Cowboy (Delmer Daves, 1958) – un début un peu lent mais une histoire bien prenante au final

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