Short diary of the week (262)

Lundi: il fait frisquet ce matin pour les sandales, une réunion, les midis ne sont plus ce qu’ils étaient, l’encodage du matin reporté à l’après-midi, il fait si agréable dehors, les restes d’hier, Legion, No Reservation – la première partie de l’Asia Special au Japon

Mardi: de l’encodage, de l’écriture, du brainstorming, retrouver Gasparde en ville, chercher en vain un café – il est fermé, se rabattre sur le Café Beguin pour un spritz très moyen, un katsudon au Menma – je crois qu’au final ce n’est pas mon restaurant préféré – je n’y trouve aucun plat favori, attendre le métro longtemps – je me suis retrouvée dans la faille temporelle de ceux qui retournent au dépôt, les criquets chantent encore à tue-tête

Mercredi: de l’écriture, de l’encodage, espérer terminer un des projets à deadline aujourd’hui (ça va être juste), je n’ai pas réussi – il m’a manqué une heure et j’avais un rendez-vous, revoir Katrien et aller manger ensemble en vitesse, un pho au Yi Chan, No Reservations – la seconde partie en Chine, terminer le roman en cours et commencer le suivant

Jeudi: une moins bonne nuit que les jours précédents (le verre de vin ?, la sortie ?), terminer le projet, repasser à l’autre dont la deadline approche à grands pas, des tomates du jardin, Legion – fin de la première saison, Better Call Saul, juste crevée

Vendredi: un trajet pénible sous la pluie et dans le vent, les trucs du vendredi, suite du projet, la fatigue du vendredi, partir plus tôt pour me retrouver devant la porte fermée du garage alors que j’étais largement à l’heure, bref je dois reprendre le monstre de remplacement pour un weekend de plus, I’m dying up here – début de la 2e saison, No Reservations en Floride sauf que je m’endors

Samedi: la déprime du samedi matin, et en plus il fait froid, du rangement, de la couture, aller chez mon papa, et comme il est encore à table je reçois aussi le dessert, les courses, de la couture, peu de concentration pour de la lecture – les longues après-midi d’été me manquent déjà, de la cuisine d’après Yottam Ottolenghi, Forty Guns (Samuel Fuller, 1957), me lever plusieurs fois pour ne pas m’endormir

Dimanche: c’est l’automne et je déprime et je n’ai envie de rien, et en plus j’ai dû rallumer le chauffage, du vélo d’appartement pour compenser le fait que je n’ai pas envie de sortir pour aller à la zumba, sortir quand même pour aller chez ma cousine parce que je lui avais promis, rencontrer un couple charmant parmi ses amis, lire un peu, reporter une décision à plus tard, I’m dying up here, déprimer – encore, No Reservations au Pérou, abandonner le livre en cours quand je me rends compte que j’ai plus envie de continuer ma lecture

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