Lundi: des maux de tête, pas très concentrée, terminer l’Egypte – enfin !, commencer un texte sur Sumatra et me rendre compte qu’il sera bien trop long, trouver une idée pour l’adapter, Berlin 1956, Chaussée d’Amour
Mardi: des discussions intéressantes, un mail que j’hésite à envoyer, une réponse argumentée, une réponse vexante et complètement déplacée très certainement envoyée par erreur à « tous », tenter d’oublier tout ça au resto grec, une soirée remplie de conversations qui changent mes idées
Mercredi: une nuit bien trop courte, une envie de tout abandonner là, et pourtant je suis poussée par une certaine motivation, bref oublions cette journée, Broadchurch, Masterchef
Jeudi: enfin bien dormi mais pas encore assez, un rendez-vous à la radio, un compliment qui me fait plaisir, quelques courses – des vêtements de sport chez C&A (il y a tellement peu de magasins qui vendent ça – à part Décathlon qui est loin de mon circuit habituel et le magasin super déprimant près de la maison), The Americans, Masterchef
Vendredi: me sentir soutenue par rapport à l’incident de mardi malgré des soucis antérieurs, Bornéo ou Kalimantan, quelques perles de reprises, une playlist musiques de film, le plaisir anticipé d’un long weekend, Berlin 1956, la moitié de Garderner’s World, Masterchef, m’endormir comme une masse
Samedi: une humeur à l’image de la météo, sauf que cette pluie était vraiment attendue pour le jardin, j’ai l’impression que mon père a essayé de me dire qu’il voulait mourir – je sens bien qu’il ne va pas très bien mais sans trop savoir comment réagir, commencer une nouvelle robe, de la lecture, des sashimis et makis, Berlin 1956 sans retrouver la V.O. dont j’avais pu profiter hier – une agréable série un peu trop courte à mon goût
Dimanche: 10 km de vélo d’appartement en regardant un épisode de la saison 2 de The Big Bang Theory, de la couture – mon projet initial de terminer une robe en trois jours me semble déjà bien loin, une virée plantes (des clématites, des plantes aquatiques, un framboisier, une azalée…), un curry malais, Vengeance Valley (Richard Thorpe, 1951) ou un film en Technicolor passé par la VHS – bref l’image est toute pourrie et l’histoire un peu confuse, Longmire
Ah, quelle plaie, les « Répondre à tous » >_< Autrement, je suis un peu en retard mais j’espère que ta situation professionnelle se débloquera. Ton chef semble bien profiter du fait que tu es plus à l’aise à l’écrit qu’à l’oral :s (à tout hasard, tu as déjà envisagé de proposer tes compétences ailleurs ?)
Pour ton père, je suis navrée aussi. Décidément, ça ne va pas fort (euphémisme !). Est-ce que c’est envisageable de le sortir un peu (pour lui comme pour toi, faudrait pas que vous soyez ensuite deux à déprimer) ?
Bon courage, des pensées depuis ma ville-dortoir.
Tu résumes bien, pour mon chef. Ici, il s’agit de son supérieur… Entre temps, j’ai tenté de me calmer et ça réussit plus ou moins. Je m’imagine comment réagirait le Dalaï Lama dans cette situation – ça aide (j’ai pioché l’idée dans le livre d’Amanda Palmer dont je parlerai un de ces jours).
Ces dernières semaines sont en effet compliquées. Je ne pense pas qu’il est envisageable de sortir mon papa – il ne bouge quasi plus et rien que l’idée de faire quelque chose le rend si nerveux qu’il en est malade – depuis longtemps déjà.
et merci pour tes pensées ❤