Hiromi Kawakami, Cette lumière qui vient de la mer: en rentrant du Japon, j’ai eu envie de lire des romans japonais. J’en avais éliminé une série de ma PAL historique mais pas celui-ci. Midori vit sa vie de lycéen, entouré de son ami Hanada qui aime se travestir et de Mizue qui est amoureuse de lui. A la maison, il vit avec sa grand-mère et sa mère qui n’a jamais épousé son père. Celui-ci passe de temps en temps dire bonjour. Je ne raconterai pas autant que la quatrième de couverture que je vous conseille de ne pas lire (elle dévoile des événements qui se déroulent au deuxième tiers du livre). Il n’y a pas beaucoup d’histoire; c’est plutôt le récit de la vie de tous les jours avec ses joies, ses peines et les questions de l’adolescence. Ce n’est pas ennuyeux pour autant: Kawakami a l’art de raconter ces petites choses avec fraîcheur et le lecteur devient presque un membre de la famille. Un agréable et joli roman !
(dernière lecture de 2015)
Ce roman est le seul d’Hiromi Kawakami que j’ai lâché au bout d’une cinquantaine de pages tant je m’ennuyais 😀 (J’ai aimé tous les autres à des degrés divers.)
Oui, j’ai vu (j’ai été relire tes commentaires sur ses romans). La faute à la quatrième de couverture ? Ce qu’elle racontait m’a vraiment dérangée dans ma lecture parce que j’ai passé un long moment à attendre ces événements.
Oui je pense que ça a joué! Tous ses romans sont très contemplatifs, mais là en plus je ne voyais pas où ça allait.