Edward St Aubyn, Le goût de la mère: quatre étés consécutifs, quatre périodes racontant l’histoire de Patrick Melrose, sa femme et leurs deux enfants. Des voix différentes, celles de Robert, l’aîné des enfants, encore petit mais qui parle comme un adulte, celle de Patrick, celle de sa femme, Mary. Ils passent leurs vacances à Saint Nazaire (en Provence) dans la maison de la mère de Patrick, maison qu’elle a offert à un gourou, déshéritant son fils par la même occasion. La quatrième année se passe aux Etats-Unis. Patrick est à la dérive, il boit pour occuper le temps; il trompe sa femme trop occupée par l’éducation des enfants. Et se raconte dans le roman. C’est froid, sec, cynique, un style auquel je n’accroche pas vraiment. C’est un moment de vie qui ne donne pas envie. Et sérieusement ? Un enfant qui parle comme un adulte et qui a son mot à dire sur le conflit israélo-palestinien ? Très mitigée par ce roman, je tenterai cependant sa suite qu’un ami m’a offert en même temps. Peut-être que mon avis sera plus positif ?
Coucou,
Je me permets de te laisser ici un commentaire qui n’a rien à voir avec ton billet, à propos de l’activité Re-lire Mauriac, organisée en collaboration avec Athalie.
Tu nous a indiqué avoir dans ta bibliothèque Thérèse Desqueyroux.
Or, il s’agit du titre que nous avons choisi pour le 31/08.
C’est peut-être un peu juste au niveau du délai, mais les congés étant passé par là, nous n’avons pu, avec Athalie, nous accorder plus tôt. Si malgré tout, le cœur t’en dit..
Je termine la brique en cours et je verrai si j’ai encore le temps avant la fin du mois !
Merci pour l’info !