Seule sur le Transsibérien

Géraldine Dunbar, Seule sur le Transsibérien: reçu de Nathalie via le swap « Voyage, voyage », je ne pouvais être plus comblée: j’ai toujours rêvé qu’un jour, je prendrais le Transsibérien jusque Vladivostok. Le sous-titre est un indice de l’approche de Géraldine Dunbar: « Mille et une vies de Moscou à Vladivostok ». C’est en effet le récit d’une vie et des nombreuses rencontres sur le train et dans les différentes villes qu’elle visite, une vie au quotidien, loin de l’heure de Moscou qui est affichée dans le train et sur les billets malgré les 5 heures de décalage horaire en fin de trajet. L’auteur est une grande sensible et se lie facilement aux gens qu’elle croise (elle parle russe, ça aide !), elle exprime souvent ses sentiments de joie puis de tristesse une fois l’heure de la séparation arrivée. Elle décrit un pays qui a connu de nombreux changements ces dernières années, les laisser-pour-compte, les nouveaux riches, la partie est de la Sibérie de plus en plus tournée sur l’extrême-orient et la Chine. Un très beau récit en toute simplicité !

2 réponses sur « Seule sur le Transsibérien »

  1. Ah celui là je l’ai lu, bien avant blog! J’adore cette collection Transboreal. En fait j’ai pris le Transiberien (Moscou -Pékin avec arrêts )(un rêve réalisé!) en voyage organisé, parce que, quand même, si on ne parle pas russe, c’est trop compliqué. L’auteur parle russe, c’est vrai.

  2. Et moi j’ai découvert la collection via ce livre. Comme je suis friande de récits de voyages, je pense que je vais en acheter d’autres !
    Et je t’envie, pour le Transsibérien ! J’ai eu la chance d’aller plusieurs fois en Russie mais le plus loin que j’ai été, c’est Kazan (ce qui est, je l’accorde, une destination plutôt rare – un jour j’écrirai un article sur ce voyage).

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